La disparition des étapes classique l'occasion à l'âge adulte est aujourd'hui un constat qui s'impose. Nous vivons une mutation générationnelle qui ce traduit par le prolongement de l'adolescence donnant lieux à l’existence d'une génération intermédiaire : la « post-adolescence ». C'est cette nouvelle génération que le corpus propose d'étudier. Ainsi, l'article d'André Béjin {publié dans Le Débat en 1983} tout comme les propos de François Dubet [recueillis par Nathalie Gayet en 1995 dans Libération] suggèrent et dressent un états des lieux de se sociologie. Ces éléments complets et précis par le tableaux statistique établie l'INSSE en 1992 on peut alors interrogé sur les cause de l’apparition de cette nouvelle génération. Nous envisageront donc tous d'abord les réseaux sociaux économiques de cette transformation pour abordé ensuite les causes culturelles qui contribuent à ce bouleversement des comportement.

Le contexte socio-économique conditionne la maniéré de vivre des jeunes qui quitte l'adolescence.
Le document de l'INSSE évoque le fait que moins de 69% des jeunes de 20 ans occuper un emplois stable entre 1983 et 1992. Cette précarisation de la jeunesse est décrite par le sociologue A. Béjin qui, dans son article intitulé « De l'adolescence à la poste adolescence », souligne la longueur des formations universitaire retardant la venue des jeunes sur le marché de l'emploi.
Cette auteur signale également des diplôme commodes et sans intérêt pour l'emploi. Ceci n'ont pour but que de masquer des condition économique difficile. Cette opinion est partager par F. Dubet qui, dans « les tatônement vers l'age adulte », laisse entendre de surcroît qu l'entreprise et inaccessible à la jeunesse, la quelle doit souvent ce contenter de petit métiers provisoire. On est ainsi passé entre 1983 et 1992 de 3,5% des jeunes de 20 ans scolariser ou étudiants à 65,4%. Il en résulte une dépendance majeur vis a vis des parents qui s'axentue en fonction du niveau sociale de la