Français surréalistes
Le surréalisme est un mouvement littéraire et artistique né après la Première Guerre mondiale, en 1920. Il c’est développé jusqu’en 1950 environ. Ce mouvement repose sur le refus de toutes les constructions logiques de l’esprit (aucun contrôle de la raison) et sur les valeurs de l’irrationnel, de l’absurde, du rêve, du désir et de la révolte. Il y a trois mots qui peuvent représenter les textes surréalistes :
- L’amour fou
- La provocation
- L’imagination
On peut dire alors que ces trois textes sont surréalistes.
Tout d’abord avec « la courbe de tes yeux » de Paul Eluard, qui fait l’éloge des yeux de sa bien-aimée, en utilisant des métaphores. Il exprime le pouvoir de l’amour, avec un regard synonyme de douceur, un regard fascinant. Il montre l’amour d’un homme « fou » amoureux de cette femme qu’il valorise en montrant que grâce a elle, le poète peut exister, il dépend totalement d’elle. Son regarde envoutant est aussi sa muse.
La courbe de tes yeux est un hymne à la joie d'aimer et au bonheur amoureux partagé. Aimer la femme, c'est aimer le monde, elle est le passage du rien au tout.
Puis « L’union Libre » d’André Breton, qui lui aussi, d’écris le corps de sa femme en entiers, il d’écrit les moindres détails avec passion, en utilisant des anaphores et des métaphores. La description se focalise d'abord sur la figure puis s'étend sur le corps de face et enfin la description du dos devient plus érotique "seins", "fesses", "sexe". Il s'agit donc soit d'un poème intime, soit d'un poème exhibitionniste car il détruit l'intimité. Le regard est amoureux: car même ce que les autres n’aime pas sur le corps de sa femme, lui il les aime. Cela peut choquer, peut provoquer les lecteurs.
Ensuite, nous avons le texte « Glossaire » de Michel Leiris, qui lui, s’apparente à un dictionnaire poétique. Il donne des définitions poétiques. Il prend un mot puis il lui donne un sens, sa définition personnelle. Il utilise son