Lecture analytique de La Géante de Baudelaire
Introduction :
La Géante : sonnet irrégulier, suit 2 autres sonnets=irrégulier Beauté et idéal. 3 poème : liens=évocation gigantisme attire B=beauté, proportion monumentale; idéal pour B : lady McBeth=peinte par Delacroix ou La Nuit=statue de Michel-Ange, 2 œuvres gigantesque. De + : « Titan » ds dernier mot poème idéal, fils nuit et géant. Mais ds poème la Géante : + marqué par attirance. Sonnet : décrit géante, sans cesse comparer paysage idéal, ds lequel poète eu aimé vivre. Plan : étude géante, correspondance géante et femme, B profite texte pour décrire univers idéal.
I° Etude Géante :
1) Champ lexical énorme :
Au fur et à mesure que poème avance : géante de + en + grd=gradation ; titre, « Nature en sa verve puissante », «enfants monstrueux », « fleurir », « terrible », « énorme », « magnifiques », « s’étendre », « montagne ».
2) Structure syntaxique sonnet :
Gigantisme : montré par 2 phrases ; 1ère : quatrain ; 2ème : tt reste sonnet ; sémantiquement : 1 phrases ; 2 1er vers : prop sub tps, prop prin=introduite par « j’eusse aimé »=2 prop prin av V « j’eusse aimé » ; enjambement constant ; phrase en éventail : 1 V prin régit pls sub=3 dernières strophe ; existe étroit rapport entre gigantisme et analogie femme/paysage.
II° Correspondance femme/paysage :
B : invente métaphore correspondance, 2 forme ; correspondance horizontal : synesthésie=personne mélange 2 sens=b fait rapport entre diff sens ; correspondance vertical : monde bas=pâle reflet monde haut= philo Platon.
1) Différente métaphore utilisé :
Alors que comparaison : maintient dualité comparé/comparant, métaphore fait du comparé le comparant ; ainsi géante : pas que comparé paysage=devient ; ds 1er quatrain : analogie qu’annoncé=ds mesure même géante=«nature », peut supposer que fille, devenue grd=devient « nature » ; 2ème quatrain : analogie encore ténu=peut noter présence pls correspondance=entre corps et âme par biais V « fleurir »,