Freud
2. Face aux propos de Freud, Kate Milett montre fermement son désaccord. Tout d’abord, elle lui reproche de faire du développement de la femme quelque chose d’entièrement biologique tandis que le contexte social y joue un rôle d’une grande importance. De plus, elle lui reproche d’universaliser les cas de femmes malades qu’il examine. Elle critiquera aussi le principe de base de Freud : « l’envie du pénis ». Face à cela, elle répond que la petite fille ne se dit pas nécessairement que ce qui est plus gros est meilleur. Elle pourrait aussi penser que le petit garçon est mal fait, et partant du même fait, le petit garçon pourrait lui aussi développer un sentiment d’infériorité. Pour Millet, l’envie du pénis n’est pas quelque