Nous allons terminer aujourd’hui avec les dépressions et les urgences un peu psychiatriques concernant la périnatalité. La prochaine fois on parlera de la prématurité, enfin si on a le temps, ce que je souhaiterais c’est qu’on puisse regarder ensemble un film la prochaine fois donc un peu sur les prises en charge de consultations parents avec ce qu’on va construire, là il y aura plus des éléments (?), peut-être moins concrets plus théoriques avec tous les auteurs plus classiques, Freud évidemment où il a mis bien Anna Freud et puis il faut quand même commencer par quelques bases pour continuer et en fait ce qu’on aura pas le temps de traiter ce sera traiter au deuxième semestre.

Donc on va terminer avec cette histoire de dépression post-natale, je rappelle je vous avait dit qu’il y a cette mini dépression, cette mini longévité ( ?) d’humeur comme ça qui s’appelle le blues juste après l’accouchement et qui est plutôt finalement on va commencer à penser que c’est plutôt pas mal d’être réceptif aux émotions et ça fait discuter pas mal de gens sur ce que c’est la dépréssivité c’est à dire sa capacité à reconnaître ses émotions un petit peu dépressive et puis la pré-dépression post-natale qui ne pose pas un problème en soi par sa fréquence puisqu’elle est au moins celle de la population générale mais peut poser un problèmes sur les conséquences, dans la mesure où la femme n’est pas très réceptive à son propre enfant et ça peut être la source après de difficultés de communication et c’est ce qu’on verra par la suite. Voilà donc il y a des facteurs socio-économiques, des dépressions antérieures et je crois que je vous l’avait dit des problèmes de maladies maniaco-dépressives, troubles de la personnalité, pas mal de difficultés conjugales c’est ce qu’on entends beaucoup parler et spécialement aujourd’hui dans les maternités dans la mesure où il y a pas mal de couples qui se séparent dès la ( ?) et ça pose un problème d’isolement et de ( ?). Les deuils, les