Freud
VIE FAMILIALE.
LES RENCONTRES : qui permettent les œuvres
LES DEBUTS DE LA PSYCHANALYSE
Le développement de la doctrine psychanalytique de 1910 à 1920
Le tournant de 1920 et ses conséquences
La tentation anthropologique
LES THEORIES
Les pulsions
Les topiques.
Les stades
L’Œdipe
La période de latence
La puberté et l’adolescence
LE NARCISSISME.
Vie familiale.
(Schlomo Sigismund), né le 6 mai 1856 à Freiberg en Moravie, dans une famille juive. Son père, Jakob, est un petit entrepreneur. Sa deuxième femme Amélia est de 20 ans sa cadette. De cette union naitront 8 enfants dont Sigmund est le fils ainé. Lorsqu'il avait trois ans, sa famille s'enfuit à Leipzig devant les émeutes antisémites qui faisaient rage à Freiberg, puis s'installa à Vienne, où Sigmund Freud fit ses études. Il devait y demeurer jusqu'au moment de l'Anschluss, l'annexion par l'Allemagne de l'Autriche, en 1938.
Sigmund, enfant doué, curieux et ambitieux, est l’enfant préféré des parents qu’il ne voudra pas décevoir. Sa mère tendre et affectueuse l’appelait mon Sigi en or.
Il devient médecin en 1881, puis est chargé de cours de neuropathologie à l’université de Vienne. Freud lit aussi des philosophes et suit les cours sur Aristote. Il se fiance avec en 1882 avec Martha Bernays qu’il épouse en 1886 et auront 6 enfants. Sa dernière fille Anna deviendra psychanalyste après avoir été institutrice. En 1896, la mort de son père poussa Freud à faire une autoanalyse au cours de laquelle il découvrait chez lui-même ce qu'il voyait chez ses patients : la force des souvenirs oubliés et les modifications de l'affectivité.
Atteint dès 1923 d'un cancer de la mâchoire qui nécessitait un traitement continu et douloureux et quantité d'opérations chirurgicales, il réussit à continuer, malgré ses souffrances, de pratiquer, d'élargir et de diffuser la psychanalyse. Mais la montée du nazisme le guettait : ses œuvres furent brûlées à Berlin en 1934. Lorsque les Allemands