Freud

2190 mots 9 pages
Freud écrit ce livre en 1930, moment de grande souffrance et de crise économique. Freud nous propose une analyse psychique des comportements humains face à la civilisation. Dans cet ouvrage, Sigmund Freud commence à nous parler de Moi et d’idéal du Moi et nous explique que le but est de détacher ce Moi de l’extérieur, empreint de sensations de douleur. En effet, malgré que l’obtention du bonheur soit le but premier des hommes, il nous est pourtant plus facile de faire l’expérience du malheur. La civilisation serait d’ailleurs en partie responsable de cette misère. D’autres concepts auxquels s’opposeront la civilisation, comme ceux de l’amour, de la vie sexuelle, de l’agressivité et de l’instinct de destruction seront abordés et vont peu à peu développer la théorie psychanalytique de Freud. Enfin, il nous apprend que pour échapper à l’agressivité, la civilisation a trouvé un moyen : retourner cette agressivité contre le Moi, à savoir lui faire éprouver un sentiment de culpabilité, provenant du complexe d’Œdipe. Ce livre est divisé en 8 parties et chaque paragraphe feront ci-dessous l’objet d’un résumé de chacune de ces parties.
Le premier raisonnement dont nous fait part Sigmund Freud est le suivant : « Normalement, rien n’est plus stable en nous que le sentiment de nous-mêmes, de notre propre Moi ». Le Moi parais donc indépendant, se suffisant à lui-même. Cependant, lorsqu’il est face au monde extérieur, il en va tout autrement et ce raisonnement ne tient plus la route. Une première distinction fait alors son apparition entre l’Interne – se rapportant au Moi- et l’Externe – se rapportant aux sensations de souffrance contre lesquelles l’Interne va devoir se défendre. En ce sens, la religion peut agir comme une échappatoire au danger auquel le Moi fait face. En effet, la religion, procurant un sentiment « océanique » et d’universalité permettra au Moi de trouver un peu de réconfort. Cela est d’autant plus vrai que la religion permet de résoudre la question du but

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