gbhv

9631 mots 39 pages
Analyse du sujet à partir des mots clé : parallèle entre le personnage de roman et un être vivant : évoque la volonté des romanciers de créer des personnages qui ressemblent à des personnes réelles, attente aussi du lecteur qui aime les romans parce qu’il peut s’identifier aux personnages, vivre leurs aventures par procuration, s’interroger sur leur ressenti, leur comportement.

Présupposé : un être vivant est complexe et mystérieux, sa psychologie intime peut nous échapper, parce que ses actes ne sont pas toujours cohérents, ni reliés les uns aux autres par un enchaînement logique intelligible alors que le personnage serait plus simple et plus clair, plus cohérent, lisible car le romancier bâtit un récit avec une structure cohérente qui donne au lecteur le sentiment de comprendre les raisons pour lesquelles les personnages agissent comme ils le font !Etre vivant caractérisé par : complexité donc pas simple type, marionnette caricaturale : difficile à comprendre, à saisir, différentes facettes,cf "je est un autre" de Rimbaud

Mystère : part d’ombre des personnes réelles, impossibilité de connaître totalement l’Autre, ses pensées intimes, ses rêves, ses aspirations, personne vivante peut-être mystérieuse pour elle-même.

Si l’on pose la question « peut-il acquérir", c’est que la tendance générale du personnage de roman est à la réduction , à la simplification de la complexité humaine et que la complexité fait l’objet d’un travail, d’une conquête progressive : interroge sur les moyens dont dispose le romancier pour rendre la complexité du réel.

De quoi donc est fait le personnage de roman ? de mots : « être de papier », « vivant sans entrailles » : représentation d’une personne par les moyens du langage, pas personne réelle, n’existe que dans le système constitué par l’œuvre , instrument de la vision du monde de l’écrivain, « porte-parole » de ses valeurs ou antivaleurs, opposants ou adjuvants, fonctions dans le récit mais illusion de réalité complexe :

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