Georges Duroy

Georges Duroy est issu de la classe moyenne, ses parents sont normands et tiennent une auberge à Canteleu. Il a passé 2 années en Algérie en tant que sous-officier du 6e régiment de hussards et en a conservé son, comme dit dans le texte « chic de beau soldat tombé dans le civil ». Il est au début du roman employé depuis six mois au bureau des Chemins de fer du Nord. Il retrouve ensuite à Paris Charles Forestier, un ancien camarade de régiment, rédacteur à la Vie française et qui va lui permettre de rentrer dans le milieu du journalisme. La première femme qu'il connaît est Rachel, une fille de joie qui travaille aux Folies-Bergères une salle de music-hall parisienne. Il devient ensuite l'amant d'une amie de Mme Forestier, Madame de Marelle. Après la mort de Forestier, Georges Duroy épouse Madeleine, la femme de Forestier, et prend ainsi la place de ce dernier à la Vie française. Il devient alors l'amant de madame Virginie Walter, la femme de M Walter, propriétaire du journal. Il finit par surprendre sa femme en flagrant délit d'adultère et divorce donc de celle-ci afin de pouvoir épouser, à la fin du roman, Suzanne Walter, fille de Virginie. Alors rédacteur en chef de La vie française, c'est un homme influent avec les femmes et tout le destine a devenir député et à continuer sa liaison avec Mme de Marelle. Georges Duroy est présenté dans ce roman comme un homme extrêmement ambitieux, qui a réussi à saisir chaque occasion lui permettant de s’enrichir, sans se soucier des moyens qu’il utilise, la preuve est qu’il a participé a un duel a mort avec un autre journaliste ou encore qu’il a utilisé sa place de « mari » pour obliger sa femme à lui céder la moitié d’un héritage. Cet homme parait aussi séducteur et utilise tout au long de son ascension des femmes afin de lui permettre d’aller plus et (encore) de s’enrichir. Il est aussi parfois présenté comme calculateur, préparant à l’avance certaines actions pouvant être risquées, par exemple quand il