germinal la mine
« Une chemise de charpente » l.398, est une métaphore.
« Des trains de berlines pleines ou vides passaient continuellement, se croisaient, avec leur tonnerre emporté dans l’ombre par des bêtes vagues, au trot de fantôme. » l.401 à 403, est une métaphore filée.
« Un long serpent noir dormait » l.404, est une métonymie.
« Un long serpent noir dormait » l.404, est une personnification.
« Dont le cheval s’ébroua, si noyé de nuit. » l.405, est une périphrase.
« Sa croupe confuse était comme un bloc tombé de la voûte. » l.406, est une comparaison.
« Dans l’enfer » l.450, est une hyperbole.
Et différents champs lexicaux tels que celui de la mine « Galerie, chantiers, berlines, veine, cheminée, roche, taille, aérage, roulage, charbon… » ou encore le champ lexical de la route « Carrefour, voie, bande, passer, croiser, bosse… »
L’influence du milieu sur les individus est important. On constate que la mine transforme les hommes est les femmes physiquement mais également psychiquement. La mine comme, comme l’enfer, est un lieu de supplice où l’on est aplati entre les roche, « couché sur le flanc le coup tordu, se traînant des genoux et des coudes, ne pouvant se retourner sans se meurtir les épaules » (p.45). La mine recourbe les mineurs, les déforme petit à petit. C’est un lieu de mort et d’ensevelissement qui angoisse les ouvriers. Les mineurs sont esclave de la mine, il sont contreint d’y travailler quitte à tomber malade, ou à mourir. La noirceur et l’obscurité de la mine déteignent sur les ouvriers. Ils sont vide est sans rêve, sans joie de vivre, presque sans vie. Ils sont constament dans le despoire sachant qu’ils ne pourront jamais sortir de cette enfer.
D’un point de vue plus positif on constate que lorsqu’Etienne est arrivé il ne se souciait pas des mineurs et de leurs conditions de vie mais dès qu’il commence a travailler, il prend la défence de ceux-ci en voulant faire