Germinal p°502-503 destruction de la mine en 3 points de vues.
Comment Zola sort du réalisme pour faire de la description de la mine l'agonie de l'ogre ?
1) Introduction 2) Paragraphe 3) Conclusion
I/
Germinal est une œuvre d'Emilie Zola, écrite en 1884. Emile Zola été un écrivain du XIXe siècle. Tiré de la saga des Rougons Macquart, cet extrait parle de la destruction de la mine le lieu principal de cette œuvre.
II/
Dans cet extrait de Germinal, Emile Zola sort du réalisme. Il utilise la personnification pour donner vie à la mine. Il compare la mine à une personne. Il utilise le champ lexical du corps humain : le genou comparé à son « énorme bielle », les muscles, les membres. Chaque partie du corps de la mine est comparée à un membre du corps humain. Il utilise aussi des verbes d'actions : « râlait », « marchait », « expirait » pour la rendre vivante.
Puis la mine est comparée à un géant, on dit que ses genoux sont géants, qu'elle a des gros membres d'acier qui avaient l'air indestructibles. Le géant est d'une puissance telle qu'elle entraîne tout le Voreux avec elle dans sa perte.
Mais on peut aussi croire que ce géant est un monstre. Zola utilise le champ lexical de la voracité : « engloutir », « dévorer », « boyau », « vorace ». Ce monstre engloutissait de la chair humaine. Lors de la destruction cette horrible bête souffre le martyre ou du moins c'est l'effet que Zola veut donner aux lecteurs. On dit qu'elle s'enfonça d'un bloc, mais elle avait lutté contre la mort : elle détendait son énorme bielle pour ce lever, mais elle expirait, elle étaient entièrement broyée, détruite. Zola utile un sens épique (fantastique), on croyait que la bête allait s'émietter en poudre, mais elle est bue par la terre, comme attiré par les enfers.
III/
La mine a été vu sous diverses points de vues, d'abord comme une personne, puis comme un géant et enfin comme un énorme monstre, un ogre. Zola souligne la représentation de la mine il veut