Germinal
En effet, nous pouvons affirmer que ce récit est réaliste car plusieurs éléments appuie la notion du réalisme, les thermes techniques, la métaphore filée et la description.
Nous retrouvons toute une panoplie de termes techniques qui encre le récit dans la réalité : « puits », « ouvriers », « la cage de fer », « un mineur », « charbons » et cetera.
De plus, nous avons quelques métaphores dont une filée « d’un jaillissement doux de bête nocturne ».
Et pour la description, Zola donne une description précise et objective de ce milieu souterrain, la mine est décrite dans ce livre comme une véritable fournaise où les mineurs travaille à cinq cent cinquante- quatre mètres. De plus, la mine est apparentée à un labyrinthe « boyaux géants ».
Nous pouvons également affirmer que ce récit est fataliste car plusieurs éléments appuient la notion du fatalisme.
La personnification de la mine est l’une des choses les plus marquante de ce texte.
En effet, la mine est ici décrite comme un monstre affamé « avalait des hommes par bouchées de vingt et de trente hommes, et d’un coup de gosier si facile, qu’il semblait ne pas les sentir passer ». La métaphore filée et la personnification permettent donc de métamorphoser le monde de la mine, en animal, en monstre. Nous retrouvons en plus de la description de la mine, une description de l’animal, la cage peut effectivement représenter la gueule de l’animal. L’ambiance est limite terrifiante, le son, l’absence de son et la lumière contribue à rendre l’animal effrayant et à rendre le monde de la mine inquiétante. Oui, cet animal fait du bruit, il beugle « un beuglement sourd et indistinct », l’entrée des