Gestion de risque bancaire
La Gestion des risques est au coeur de l’activité bancaire.
Le Groupe BCV consacre des ressources importantes à l’amélioration continue de sa gestion des risques.
GESTION DES RISQUES
Rapport annuel 2007 153
9. La Banque entretient et développe de façon continue sa culture et ses compétences en matière de gestion des risques. Elle s’oriente en particulier sur les pratiques de référence et les recommandations du Comité de Bâle.
10. La Banque veut maîtriser elle-même l’ensemble des techniques de gestion des risques qu’elle utilise.
1.3 Structure des risques
La Banque surveille quatre catégories de risques pour l’ensemble de ses activités :
• Le risque stratégique et business qui résulte de l’incertitude inhérente à toute décision majeure sur l’orientation des affaires et sur des investissements importants.
• Le risque de crédit qui résulte de la possibilité qu’une contrepartie ne respecte pas ses obligations financières envers la Banque, c’est-à-dire qu’elle fait défaut. Le risque de crédit existe avant et lors du dénouement d’une transaction. • Le risque de marché qui résulte de possibles changements adverses des conditions de marché. Le risque de marché existe au niveau du trading book et du banking book (en particulier le risque de taux). Le risque de liquidité est également considéré ici.
• Les risques opérationnels qui résultent d’un possible dysfonctionnement des processus, des personnes ou des systèmes en interne ou à l’externe de la Banque.
Ces risques sont analysés et gérés en fonction de leur impact potentiel. Trois types d’impact sont distingués :
• L’impact financier, c’est-à-dire l’impact sur le bénéfice net, sur la valeur des fonds propres et/ou le cours de l’action.
• L’impact régulatoire, c’est-à-dire l’impact sur les mesures et restrictions émises par le régulateur.
• L’impact sur la réputation, c’est-à-dire sur l’image que la
Banque projette à l’extérieur.
GESTION DES RISQUES
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