Gestion
Le 27 septembre 2012, vers six heures et demi du soir, à l’arrêt de tram Chantier Naval de Nantes, en face du port Anne de Bretagne. Une avalanche de gens pressés se heurtaient, les uns avec des valises, d'autre avec des sacs de sport ou encore de grandes pochettes à dessins vertes et noires, dans lesquels on voyait des aquarelles dépasser. Il y avait même un homme qui cherchait à rentrer avec un vélo, et qu fini par se faire jeter par les passagers déjà montés dans le tramway. C'était parti, nous suivions le chemin de fer urbain qui allait nous conduire à la gare nord nantaise.
Dans la rue, les lampadaires commençaient à faire apparaître des ombres de toutes formes, allant des plus grandes aux plus minuscules qui soit. Quand le tram arriva à destination, tout le monde partit dans diverses directions et on entendait plus que les bruit des voitures démarrer et les valises rouler au sol. Une adolescente de seize ans, avec des cheveux châtains, bouclés qui descendaient un peu en dessous des épaules, et qui était restée assise sur un banc une valise à sa droite, un sac de cours sur les genoux, et une pochette à dessins à la main, attendait de pouvoir traverser la route pour se rendre à la gare. Quand elle fut montée dans le train, elle regarda encore une fois les hautes habitations nantaises qui défilaient sous ses yeux et dont elle ne vit bientôt plus aucun détails avec l’impressionnante vitesse du train. Doriane Serreau, inscrite à la Joliverie au pôle Arts avait fini sa semaine et était sur le chemin du retour, direction la gare d'Ancenis pour le rejoindre après tans de temps.
Modification :
Le 27 septembre 2012, vers six heures et demi du soir, à l'arrêt de tram Chantier Naval de Nantes, en face de la Loire, les moteurs de voitures retentissaient. Une avalanche de gens pressée se heurtaient, les uns avec des valises, d'autre avec des sacs de sport ou