Lieu : EHPAD Sainte Marie à Ecques dans la chambre d'un résident
Situation : pendant mon stage, je fais le tour à 16h30 avec l'infirmière d'après-midi nous commençons par Madame S qui est diabétique de type 1 (insulino-dépendant). Je vérifie son taux de glycémie 1 fois tout les deux jours, avec le lecteur de glycémie. L'appareil à glycémie affiche : 3,80g/L.
Je devrais alors préparer les injections d'insuline mais l'infirmière me précise que au soir, chez les personnes agées, il ne faut pas injecter trop d'insuline puisqu'ils tombent ensuite vite en hypoglycémie. Il est alors « mieux » qu'il soit en hypoglycémie plutôt que en hypoglycémie puisque a cause de cela, ils peuvent tomber dans un coma, et il est donc très difficile de les réveiller ensuite.
Observation : en faisant des recherches sur le diabète et les différentes insulines , je remarque qu'il y a des risques de complications tels que neuropathies, néphropathies, rétinopathie et des problèmes vasculaire, coma diabétique lors d'hyperglycémie répétées.
Je me suis renseignée sur deux insulines que j'ai rencontré : l'umuline NPH est une insuline intermédiaire qui permet de couvrir les besoins du métabolisme. Alors que l'actrapid est une insuline rapide agissant au bout de 5 minutes après l'injection. Leur action hypoglycémiante survient dans les 5mn devenant maximale au bout de 30 à 60 min avec une durée totale de 4 heures environ. Elle n'est donc injectée, selon ce protocole spécifique seulement en cas de glycémie supérieur à 2g/L
Mais Madame S a pourtant un régime alimentaire adapté. Nous apprenons un peu après que Madame a été en animation, et qu'elle a mangé un baigné au pomme d’où le taux de sucre important . Nous avons alors compris pourquoi son taux de sucre étais aussi important.
Difficultés : Pour moi, il était difficile de laisser la personne en hyperglycémie, mais après le repas du soir, pour me rassurer, on a repris la glycémie, celle ci étais redescendu a 1,20g/L