Gouvernance du sport
Le top du top, la cerise sur le gâteau, bref, le master pompon sera intervenu le dimanche 20.07.2010 en début d'après-midi à Knysna (Afrique du Sud) lorsque les joueurs de l'équipe de France de football sont arrivés sur le terrain d'entraînement avec baskets aux pieds, mains dans les poches, airs hautains, sourires aux lèvres bien décidés à ne signer que des autographes. Baskets vous avez dit ? La FIFA aurait-elle changé la règlementation ? Que nenni, tout le monde a compris la situation lorsque Raymond Domenech a officiellement déclaré devant des journalistes surexcités que les Bleus avaient simplement décidé de boycotter l'entraînement, le tout pour signaler leur mécontentement au sujet de l'éviction de Nicolas Anelka.
Le monde entier a alors les yeux rivés sur le fiasco français, toutes les télés du monde passent les images d’une équipe de France qui perd les pédales, ou le préparateur physique (Robert Duverne) furieux en est à 2 doigts d’en arriver aux mains avec le capitaine Patrice Evra, Jean-Louis Valentin démissionne en direct de son poste de directeur général délégué de la Fédération avant d’embarquer dans un hélicoptère.
Triste image que donne le sport français, la France est la risée du monde à ce moment la.
Déjà très controversée par sa gouvernance politique et son mode de fonctionnement la France ajoute une nouvelle corde noire à son arc usé par le temps. Cette mini crise qui a occupée
Loin des valeurs et des vertus du sport moderne dont Pierre de Coubertin rêvait à la fin du 19eme siècle, aujourd’hui on retrouve une division du sport français entre :
(Un sport amateur en perdition de part sa gestion en constante crise avec un problème de gestion des priorités.
(Un sport professionnel qui souhaiterait acquérir un modèle économique de sport spectacle ou l’on retrouverait de plus en plus de projet privé publique (ppp) et de partenaires financiers stables.
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La gouvernance du sport en France
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