Le roman est un style littéraire parmi d’autres, il est apparu en Europe entre le X et le XIIème siècle. La caractéristique première de ce genre d’œuvre est la mise en avant d’un univers imaginaire où évolue une multitude de personnages à a=travers de multiples situations. Ce type d’ouvrage, en règle générale, articule son histoire autour d’un ou plusieurs personnages principaux sur laquelle est basée l’intrigue de l’histoire. Les auteurs spécialisés dans ces œuvres sont appelés romanciers, ils n’hésitent pas à faire de leurs personnages principaux des êtres spéciaux, hors du commun. Ce qui pose cette problématique, doit on systématiquement attendre de ces personnages qu’ils soient des héros. Doit-on toujours, afin de ressentir un intérêt pour l’histoire faire intervenir ce héro ou est-ce que ce type de lecture peut se passer de ces acteur hors du commun ?
Nous verrons que les romanciers sont partagés sur le sujet, et que chacun d’entre eux abordent cette problématique par rapport à ses propres envie. Nous constaterons également que ceux qui s’opposent à ce principe, le font par le biais de la création de ce que nous pourrions appeler anti-héros.
Nous constaterons dans une première partie que le lecteur attend du personnage principal qu’il soit un héros puis dans une seconde partie que les romanciers peuvent aller contre ce principe et créer des personnages banales.
Pour que le lecteur trouve le roman plaisant, il a besoin de pouvoir s’évader et rêver, ainsi il est nécessaire au lecteur qu’au moins l’un des personnages du roman sorte du commun et aient des caractéristiques héroïques ou autres. Force, courage et générosité sont des points positifs que beaucoup d’hommes espèrent acquérir mais qui demeurent malheureusement rares chez un seul et même homme. Cependant le héros les possèdent toutes. Cela permet donc au lecteur de s’épanouir dans une lecture comme bon lui semble et de rêver de la vie qu’il n’a pas, comme pour le personnage principal Jean Valjean dans