Gustave Flaubert
Question 1 :
Ligne 1-15 : rêve -> la lune de miel parfaite
L16-37 : réalité -> le doute et le malaise
L38-40 : rêve -> l’homme rêvé
L40-55 : réalité. -> Le mari et la vie d’Emma.
Question 2 :
Le narrateur restitue les pensées d’Emma Bovary par l’utilisation du pronom personnel « on », les verbes « songeait, semblait » et l’utilisation du passé antérieur avec « il eut fallu »
Question 3 :
Emma Bovary se représente la lune de miel comme un moment de douceur avec des images romantiques (couché de soleil, cascade, route escarpées, villa, étoiles…). On pourrait retrouver une telle scène dans un roman romantique.
Question 4 :
Le registre du 1e paragraphe est lyrique. Les excès de ce passage sont la description d’une scène quotidienne comme un rêve extraordinaire.
Question 5 :
« Insaisissable malaise, une abondance subite […] la main » « la conversation de Charles […] de rêverie. » « Il ne savait ni nager […] roman ». L’effet produit est un contraste en un rêve de lune de miel parfaite et la réalité et provoque la pitié du lecteur pour Emma Bovary qui se retrouve piégée dans un mariage étouffant.
Question 6 :
« Il n’avait jamais été curieux », « il ne savait ni nager ni nager ni faire des armes ni tirer le pistolet, il ne put u jour…, il n’enseignait rien, ne savait rien ». On peut en conclure, qu’à travers le narrateur on apprend qu’Emma ne trouve que peu de qualité à son mari. Le personnage parait sans relief, sans intérêt.
Question 7 :
Le romancier parait comprendre Emma en s’immisçant dans ses pensées et en adoptant son point de vue pour décrire Charles. Il parait ainsi plus proche d’Emma que de Charles.
Question 8 :
Le bovarysme procure un état d’insatisfaction qui consiste à se renfermer dans un imaginaire. Donc on peut aisément mettre en parallèle la fuite de madame de Bovary dans la fausse image de Charles et de leur couple où ils vivraient des jours heureux et où il serait parfait alors que cette rêverie ne fait