Guy de maupassant
Une vie (1883)
Bel-Ami (1885)
Pierre et Jean (1887)
Mont-Oriol (1887)
Fort comme la mort (1889)
Notre cœur (1890)
Nouvelles et contes
Maupassant a écrit chaque semaine pendant presque dix ans dans les journaux Le Gaulois et Gil Blas ; on peut donc estimer le nombre de chroniques, nouvelles ou contes à près de mille[réf. nécessaire]. [1]
Article détaillé : Liste des nouvelles de Guy de Maupassant.
Recueils de nouvelles
La Maison Tellier (1881)
Mademoiselle Fifi (1882)
Contes de la bécasse (1883)
Clair de lune (1883)
Miss Harriet (1884)
Les Sœurs Rondoli (1884)
Yvette (1884)
Contes du jour et de la nuit (1885)
Toine (1885)
Monsieur Parent (1886)
La Petite Roque (1886)
Le Horla (1887)
Le Rosier de Mme Husson (1888)
La Main gauche (1889)
L'Inutile Beauté (1890)
Posthumes
Le Père Milon (1899)
Le Colporteur (1900)
Les éditions Lucien Souny ont édité en 2008 un recueil de nouvelles, Coquineries62, dans lequel se trouvent quelques textes inédits provenant des collections d'une université américaine, de Claude Seignolle et d'un amateur anonyme.
Théâtre
Jean Béraud, Les Grands Boulevards : Le Théâtre des Variétés (années 1880-90)
Histoire du vieux temps (1879)
Une répétition (1880)
Musotte (1891)
La Paix du ménage (1893)
À la feuille de rose, maison turque, comédie représentée en 1875 et publiée pour la première fois à Paris en 194563,64
Poèmes
Des vers (1880)65
Des vers et autres poèmes, Publication Univ Rouen Havre, 2001, 474 p. (lire en ligne)
Récits de voyage
Au soleil (1884)
Sur l’eau (1888)
La Vie errante (1890)
Fragments de voyages, Arvensa éditions, 2014,
Maupassant a publié certains textes sous pseudonymes :
Joseph Prunier, pour son premier conte, La Main d’écorché en 1875 ;
Guy de Valmont pour Gustave Flaubert en 1876. Il utilisa ce pseudonyme jusqu’en 1878 ;
Chaudrons-du-diable, qu'il utilisa pour signer en 1880 la chronique Étretat dans la revue Gil Blas du 20 août 188061.
Maufrigneuse, qu’il