Génération y
• La culture du rapide : hyper connectée depuis son enfance, la génération Y n’a presque pas connu le monde sans Internet ou sans les téléphones portables. Elle va donc droit au but, veut communiquer directement avec les bons interlocuteurs et ne s’embarrasse pas des procédures intermédiaires qui lui font perdre son temps.
• Un accès permanent à l’information : la génération Y2.0 baigne dans un flux d’informations continu, il est donc impensable de ne pas avoir accès à l’information en permanence.
• Un équilibre parfait entre la vie professionnelle et la vie privée : La génération Y se sent plus engagée par un objectif à atteindre que par des horaires de présence physique au bureau. Et si ces conditions non négociables ne sont pas remplies, l’individu n’a aucun scrupule à changer de société.
• Une génération de zappeurs : Le « Y-er » n’hésitera pas à quitter son travail dès lors qu’il s’ennuie, ou qu’il n’a plus l’impression d’avoir à apprendre d’une société. Le jeune de la génération Y ne croit plus aux promesses des entreprises ni à l’emploi à vie. L’accomplissement personnel par le travail passe par une multiplication des expériences professionnelles, dans des structures toutes différentes, afin de prendre le meilleur de chaque organisation et de se forger sa propre méthode de travail.
• Une génération qui ne supporte pas l’autorité : les « Y-ers » ne respectent en effet pas l’autorité et la hiérarchie. Le jeune de la génération Y ne supporte pas qu’on lui impose des décisions sans lui avoir fait prendre part à la discussion.
• Oublier la verticalité : Le Y-er aime travailler en mode projet, avec tous les départements d’une société qui se serrent les coudes. Le manager doit travailler avec eux, pas au dessus d’eux…
• Savoir faire preuve de réactivité : L’un des 4 piliers de la génération Y est la réactivité. Nés avec du Google dans leurs biberons, les jeunes de la génération Y attendent de leur manager la même