Haii et hai
Asdf
gasdddddddddddsggggggggggggggggssshhhhhhhhhhhhhhhdsajvvvvvvvUn fragment d'un texte des Catalogues d'Hésiode (VIIIe siècle av. J.-C.), cité par Strabon5, cite les Ligures parmi les trois grands peuples barbares, aux côtés des Éthiopiens et des Scythes. L'interprétation la plus fréquente de ce texte est que les Ligures dominaient alors l'extrémité occidentale du monde connu des Grecs. Ce fragment a été considéré comme valable par Henri d'Arbois de Jubainville, Camille Jullian ou plus récemment par Guy Barruol, Giovanni Colonna ou Filippo Maria Gambari. Cependant, il est aujourd'hui souvent considéré comme non authentique, suite à la découverte d'un papyrus égyptien du IIIe siècle citant les Libyens à la place des Ligures. On considère parfois aussi que c'est le papyrus qui contient une erreur de transcription6.
Avienus, dans sa traduction en latin d'un vieux récit de voyage, probablement marseillais, qu'on peut dater de la fin du VIe siècle av. J.-C., indique que les Ligures se seraient jadis étendus jusqu'à la mer du Nord, avant d'être repoussés (ou assimilés) par les Celtes jusqu'aux Alpes. Avienus situe également Agde à la limite du territoire de Ligures et de celui des Ibères7.
D'après des fragments cités par Étienne de Byzance, Hécatée de Milet dans son Europe présentait à la fin du VIe siècle av. J.-C. Marseille comme une ville de Ligystique et les Élisyques comme une tribu ligure6.
Le Périple de Pseudo-Scylax (écrit entre la fin du VIe et le IVe siècle av. J.-C.) donne les indications suivantes : « 3. Ligures et Ibères. Après les Ibères, habitent les Ligures et les Ibères mêlés jusqu’au Rhône. La navigation le long des Ligures depuis Emporion jusqu’au Rhône est de deux jours et une nuit. 4. Ligures. Au-delà du Rhône suivent les Ligures jusqu’à Antion. Dans cette région se trouve la ville grecque de Massalia avec son port6. »
Le Pseudo-Scymnos, basé sur des sources du IVe siècle av. J.-C., décrit la Ligurie comme une région