Etude de cas Amsterdam, métropole européenne

1) Dans ce paysage la plus grande partie de l’urbanisme c’est fait d’un seul coté de la rive d’Ijssel, vu du ciel la forme fait penser à une toile d’araignée où s’entrecroisent à la fois des canaux et des routes. Les canaux et axes de circulations principaux sont en ligne droite, la verdure est présente le long de ces axes.
Au dernier plan on peut constater une vaste zone naturelle faite d'étendues verte et d’eau préservées de l'urbanisme. Cette zone au voisinage immédiat du centre s’explique par la volonté de préserver l’environnement. Cette zone est appelée «cœur vert», un espace protégé depuis 1990 et réservé a l’horticulture, l’élevage et aux espaces récréatifs.
Cette zone épaisse et humide n’est pas idéal pour la construction. C’est donc en partie naturellement qu’elle est restée préservée mais aussi et surtout grâce au choix d’urbanisation, qui veut que les villes restent compactes et que les habitants puissent trouver à proximité un lieu de verdure, de calme et de loisir. Etude de cas Amsterdam, métropole européenne

1) Dans ce paysage la plus grande partie de l’urbanisme c’est fait d’un seul coté de la rive d’Ijssel, vu du ciel la forme fait penser à une toile d’araignée où s’entrecroisent à la fois des canaux et des routes. Les canaux et axes de circulations principaux sont en ligne droite, la verdure est présente le long de ces axes.
Au dernier plan on peut constater une vaste zone naturelle faite d'étendues verte et d’eau préservées de l'urbanisme. Cette zone au voisinage immédiat du centre s’explique par la volonté de préserver l’environnement. Cette zone est appelée «cœur vert», un espace protégé depuis 1990 et réservé a l’horticulture, l’élevage et aux espaces récréatifs.
Cette zone épaisse et humide n’est pas idéal pour la construction. C’est donc en partie naturellement qu’elle est restée préservée mais aussi et surtout grâce au choix d’urbanisation, qui veut que les villes restent