Hda musée juif de berlin
En Histoire : la Résistance En Education Musicale : le chant des partisans En Arts plastiques : le mémorial, le travail autour du souvenir
Histoire des arts
« LA RESISTANCE »
Se souvenir, c’est résister.
“NE PAS TÉMOIGNER SERAIT TRAHIR. CEUX QUI NE SE SOUVIENNENT PAS DU PASSÉ SONT CONDAMNÉS À LE REVIVRE.”
Musée Juif de Berlin
Architecture construite par Daniel Libeskind entre 1993-1999
C’est une architecture qui nous invite à ressentir le vide laissé par l’extermination des juifs d’Europe. Daniel Libeskind parle d’absence au travers ce musée.
Ce musée est surnommé l’éclair par les berlinois à cause de sa forme
Présentation du musée : (Cf. document détaillé sur le site du collège.)
Résumé : l’architecte nous impose un parcours. Dans ce musée, il faut tout d’abord entrer en s’enfonçant sous terre, puis se perdre dans des couloirs (des « axes ») qui se terminent en impasse (pour l’axe de l’holocauste et l’axe de l’exil qui aboutit sur un jardin dont on ne peut sortir). Ce parcours symbolise l’histoire juive. Pour pouvoir continuer la visite, il faut emprunter l’axe de la continuité, remonter péniblement des escaliers pour sortir enfin de l’ombre (=symbole de l’espoir, de la vie qui continue). Lors de son parcours dans ce musée, le visiteur doit franchir une salle vide, où rien n’est exposé. Des murs nus. Ce vide signifie l’absence. L’absence de tous ceux qui sont partis, qui sont décédés. Dans le vide de la mémoire, on découvre une installation* intitulée « Menasche Kadischman »
Le « vide de la mémoire »
Nature de l’œuvre : Il s’agit d’une installation*. Description de « Menasche Kadischman » Un flot de milliers de pavés d'acier circulaires vient s'échouer aux pieds du visiteur. Chaque pavé, percé de trous, figure le visage humain, yeux vides, bouche béante sur un cri inaudible. Un panneau signale que l'auteur a souhaité que le visiteur s'engage dans ce flot, marche sur les visages entassés devant lui, ce qui ne se fait