JOSSE Mélissa.
Expression écrite.

Il est 06h15 du matin, c'est l'heure pour lui de se réveiller. Il prend son courage a deux mains, se frotte les yeux, passe la main dans ses cheveux, enfile un pull, et un jean, direction la cuisine, il prend un bol, se sert des céréales il sait qu'il ne mangera pas comme tout les autres jours de la semaine mais il essaye. Il se force un peu, mais rien y fait il n'as pas faim, il a la nausée, comme tout les jours d'ailleurs, il va dans la salle de bain, il se regarde, passe de l'eau sur sa figure et là les larmes montent il les empêchent de couler en les ravalant. Il a la gorge nouée, le cœur serré, direction sa chambre il regarde l'heure 6 h 45 c'est l'heure de partir, le bus ne va pas tarder à passer, il enfile un deuxième pull, il prend son sac, y glisse sa trousse et deux ou trois cahiers. Puis sort de chez lui, prend son i-Pod, met de la musique et appuie sur "piste aléatoire". Dans ses écouteurs c'est du 1995 qui passe, il marche, marche, marche jusqu'à son arrêt de bus, il pense, réféchit. Il espère qu'aujourd'hui ce sera une bonne journée et qu'il n'aura pas a faire face aux critiques des gens une fois de plus. Il arrive a temps a son arrêt de bus, son bus vient d'arriver, en montant dedans il manque de se casser la figure. Tout le bus se moque de lui, ça lui fait mal mais il garde le sourire, et se dit que ce n'est rien. Arrivé a l'école il passe le seuil du collège et la il entend les critiques une a une. "Eh planche à pain !" "Fais gaffe y'a un courant d'air tu vas t'envoler". Ces phrases là, ce n'est pas la première fois qu'il les entends, ça lui fait mal, les larmes montent, il n'arrive plus a les retenir, la journée passe et vient le soir, il marche jusqu'à chez lui, il y a bien réfléchit toute la journée ce soir il commetra l'iréparable, il en marre, il n'en peut plus, il n'a plus le courage de tenir les reproches, les phrases mal placées, les critiques sont devenues trop nombreuses. Arrivé chez lui, il ne dit