histoire des idées politiques
ANNEE ACADEMIQUE : 2013-2014
AVERTISSEMENT : Ce cours est une prise de note et non un document officiel fournit par le Pr. Néné Bi. Il n’est donc pas exclu qu’il y manque des informations utiles pour la compréhension. Nous, bureau de licence 2 promotion 2014, déclinons toutes responsabilités quant à l’utilisation de ce document. Ce document est juste le resultat d’une volonté manifeste du délégué et de son bureau de permettre à ceux qui n’ont pas pu assister au cours d’avoir un support pour la matière.
NOTIONS : Il faut définir les variables qui constituent l’histoire
L’histoire pourrait se définir comme la science qui visite une civilisation ou des civilisations pour y réactiver tous ce qui est caché.
L’histoire baptise et rebaptise le passé. Ce qui veut dire que l’histoire s’implique dans le mouvement des peuples et des sociétés en portant le scaphandre d’objectivité. Elle s’arrête aux faits sélectionnés par elle. Elle retient que ce qui est précieux pour le temps. Donc qui retient que ce qui participe à l’efficacité de la société : tous n’est donc pas histoire. L’histoire ne réactive que ce qu’elle veut réactiver pour l’intelligence globale.
NB : toute histoire est un fait mais tout fait n’est pas histoire
L’historien procède donc par choix dans l’écriture des sociétés. Cependant l’histoire peut être considéré comme le produit intellectuel le plus élaboré en ce qu’elle se moule dans le temps et dans l’espace. Elle se fixe dans le temps et l’espace. L’histoire met donc les donnés en rapport. Nous faisons allusion aux donnés qui se conjuguent pour faire naitre les objectifs sociaux économique qui un moment ont germé dans l’esprit des philosophes d’une période donnée. C’est donc en cela que l’histoire est difficile. Il s’agit donc d’un mouvement de reconstitution du passé
Pour cela il faut passer par interprétation des lois en tant que faits du passé. Le mouvement d’ensemble de l’histoire