Histoire des institutions td 5
Source : Discours, entretiens et autres sources
Ainsi, la religion et l’Etat sont passés par un accord de causalité pour le maintien de l’intérêt général c’est-à-dire qu’ « on ne fait pas de la politique avec de la morale, mais on n’en fait pas davantage sans » d’après André Malraux (1901-1976).
Source : L’Espoir.
Cela suppose une guerre adoucit par ce lien de causalité.
En ce sens, au XIe siècle, l’Eglise est une victime de la féodalité. En effet, les seigneurs ont non seulement usurpés les fonctions administratives mais aussi les titres ecclésiastiques. Le pape Grégoire VII (pape de 1073 à 1085) est le représentant de la théocratie pontificale puisqu’il a développé l’idée d’une rénovation ecclésiastique en raison de la crise et de la décadence de l’Eglise dans le sens ou elle est touchée par la grave dépravation des prêtres et de la débauche des clercs (en d’autre terme de nicolaïsme) mais également de simonie qui est le trafic des biens, des sacrements et des fonctions ecclésiastiques. Grégoire VII va procéder à la moralisation de l’Eglise. De ce fait, il va édicter le dictatus papae.
Ce document rejoint la réforme de Nicolas II (1058-1061) concernant la procédure d’élection du pape. En effet, l’élection pontificale est confiée aux seuls cardinaux de l’église romaine, en outre, le conclave. Tandis que Léon IX (1002-1048-1054) rédige un ouvrage faisant de Rome le lieu d’élection de