Histoire economique
Vincent de Gournay et Turgot, souvent assimilés à l'école physiocratique, pensent au contraire que les manufactures et le commerce sont générateurs de richesses. Ils ne doivent donc pas être comptés parmi les physiocrates même si ces derniers leur ont fait beaucoup d'emprunts.
THOMAS MALTHUS (18)
La surpopulation : il prédit que la pop augmente de façon exponentielle tandis que les ressources croissent de façon arithmétiques. Il conclut donc qu’une catastrophe démographique est à venir à moins d’empêcher la pop de croitre. Il prône aussi toute aide aux nécessiteux.
Il critique la loi de Say : l’offre ne créé pas forcement la demande, à cause du fait que les produits ne s’échangent pas contre des produits mais bcp comme du travail ne se traduisant pas comme un bien matériel et de l’épargne.Un recul de la demande est possible avant une baisse de la production (surprod = précurseur du keynésianisme).
Sous consommation
La renaissance :
La durée de cette période est discutée. Selon l’Academie française : fin du moyen age (1453) - mort d’henry IV (1610)
L’imprimerie (gutenberg 1450)est l’invention qui a eu le plus d’impact à cette époque. Le savoir, avant cette invention était réservée aux clercs. L'imprimerie à permit d’ouvrir la connaissance.
1539, françois 1er proclame le français langue officielle.
La réforme :
Causes : enrichissement excessif de l’église qui provoque l’indignation de certains chrétiens qui veulent revenir aux sources de la bible. Certains chefs d’église trop proches des autorités politiques.
Réformateurs : Luther, Calvin, Ignace de Loyola et Thomas More.
L’école classique : regroupe les economistes du 18ème et du 19ème.
Les membres les plus importants :
Adam Smith (18)
David Ricardo (18-19)
Thomas Malthus (18-19)
John Stuart Mill (19)
Jean Baptiste Say (18-19)
Frédéric Bastiat (19)
Terme employé la première fois par Karl Marx dans «le capital».
Un courant dont la délimitation dépend de