Histoire et philosophie
Préface.
L'homme dans sa nature. Loin de moi l'idée d'apostropher ici bas une quelconque révolte humanitaire pour quelconque prévention écologique, certes d'actualité, et qu'il ne faut pas négliger, mais il ne s'agit pas la d'entrer dans une banalité des plus représentée par les médias. Il s'agirait plus de sortir de la vision parfois stéréotypé du mot nature et du sens premier que nous avons l'habitude de lui attribuer. Ne voyez pas un homme nu, ou habillé ,en pleine jungle d'Amazonie ne sachant comment survivre, ou essayant tant bien que mal de capter un réseau téléphonique parmi la flore dominante. Attachons nous plutôt à quelques œuvres artistiques librement imposée et qui font ainsi l'objet d'une réflexion conditionnée.
Un vitrail, symbole religieux et représentatif de la lumière divinement révélatrice qui pénètre dans ces sanctuaires humains grâce à la translucidité du verre finement iconifié; Un pseudo-documentario-citriquo-derisoire de Pierrick Sorin mêlant humour, réflexion, mise en espace, jeu d'acteur, absurdités sérieusement burlesques, ou burlesquement sérieuses; “L'arbre des voyelles”, de Giuseppe Penone, moule en cuivre d'un arbre tombé lors tempête de 1999, jouant sur un contraste œuvre/environnement et un paradoxe certain entre éternité et éphemérité; trois œuvres intéressantes qu'il faut mettre en relation, en faire découdre une réflexion et élaborer un thème artistique. Mais alors quel thème engloberait ces 3 œuvres avec connivence ? Pierrick Sorrin m'a guidé. L'artiste lui-même. Chaque œuvre est le fruit et la consécration d'un artiste, et bien que tous différents, ils sont tous semblables, ce sont des hommes. L'homme rassemble ces trois œuvres. Mais ce serait trop vaste et imprécis que de s'arrêter là. L'homme oui, mais où? Dans quoi? Par rapport a quoi? Dans quel sens? Physiquement? Spirituellement? Les deux? L'homme dans un topique particulier? Penone m'a ouvert la voie. L'homme dans sa nature. Son