Histoire Lecon 3
1. Des départs massifs depuis l'Europe
Entre 1851 et 1900, la part des émigrés venant des îles britaniques est parfois élevée (elle peut dépasser 15% de la population) surtout en Irlande (en 1850, 1860 et 1880).
Les irlandais migrent surtout vers les USA (+ de 75%) mais aussi vers l'Angleterre (environ 12%) et vers les autres dominions de l'empire britanique (Australie et Canada (environ 6%))
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, 60 millions d'européens (la moitié sont britaniques et italiens) quittent le vieux continent. Ils s'instalent prioritairement en Amérique du Nord (surtout aux USA), en Amérique du Sud (brazil et Agentine) mais aussi en Australie et en Syrie. B. Un contexte favorable aux migrations européennes
Plusieurs raisons expliquent que certains britaniques quittent leur pays : La misère et le chômage qui frappent souvent les familles ouvrières et en Angleterre le Mildiou (maladie de la pomme de terre de 1845) va donner lieu à un début de famine.
Les autorités britaniques poussent les plus pauvres à émigrer en plubliant des affiches montrant le mérite de l'émigration (dont de terre au Canada par exemple).
Certains condamnés sont déportés dans des colonies pénales plutôt que d'étre entassés dans les prisons britaniques.
Les migrations européenne s'expliquent d'abbord par la misère, mais aussi certains sont séduits par le rêve américain ou sont attirés par la ruée vers l'or. D'autres, comme les juifs d'europe de l'Est, fuient les persécutions (les Pogroms en Russie à partir de 1881)
Il existe aussi des migrations forcées, celles des prisonniers européens condmanés au bagne (le bagne de Cayenne en Guyane). Les progrès des transports ont rendu possible les migrations car les bateaux sont alors plus grand et plus rapide.
C. Des migrants qui peinent parfois à s'intégrer
Les USA semblent méfiants vis à vis des immigrés britaniques : quand ils arrivent à Ellis