Le retable d'issenheim:
Introduction:
Cette oeuvre de Mathis Grünewald a été produite pour occuper le centre de l autel de la chappelle du monastète de Saint-Antoine, qui se situe à Issenheim, pas loin de Strasbourg. Un retable était une construction qui représentait plusieurs scènes et que les religieux montraient suivent les fêtes religieuses. Le retable est une caisse scultée par Nicolas de Haguenau, vers 1510, elle a été faite en tilleul polychrome. Mais cette caisse a été reconstruite en 1930 avec les mêmes éléments d'origine (dimensions, dais,décorations). Tandis que les peintures des volets ont été peint par le Maitres Mathis (Grünewald) dans les environs de 1510- 1516. Il emploie une technique mixte avec de la tempera et du l huile sur du bois de tilleul.

Description: ( retable en entier, voir annexe 1)

Partie 1:
Ceci est la partie centrale du retable. Le fond est sombre, presque tout noir. Cette aptitude qu'a cette peinture à masquer, après séchage, toute autre couleur en desous de celle-ci a le don de faire ressortir les personages qui y sont dressés, sans mouvement mais avec une posture qui en dit long. Ce fond est menaçant ets austère car ce sont les ténèbres qui ont obscurci la terre (Mc 15,33 annexe 2) Il pousse le drame à l extreme, la vierge marie est habillée en blanc( symbole innocence) alors que le plus souvent elle est vétue d'un manteau bleu. D'ailleurs avec le tissu qui recouvre son vêtement sera le tissu dans lequel sera mit son fils, le Christ. Tout les regards se portent sur elle au moment où elle s évanoui dans les bras de Saint Jean. A ce moment précis les 2 silhouettes ne font plus que 1, les 2 visages montrent une souffrance immense. Jean, le disciple préféré du Christ, est souvent représenté dans les scène de crucifixion avec Marie dans ses bras. il y a aussi la présence de Marie-Madeleine a genou, avec en face d'elle un pot d'onguent ( médicament à base re résine, gras qui est destiné a être appliqué sur la peau) qui vient