histoire
-19ème siècle : L’Etat va prendre en charge les enseignements, l’idée a été de scolariser les élites.Avant la Vème république il n’y a pas d’idée de massification scolaire
-Une prise en charge progressive des populations (les filles)
-Progressivité de la démocratisation
-La dualité public/privé
11 décembre, 2 ou 3 questions à traiter.
Rapport sur l’organisation d’un corps enseignant
Ils souhaitent former un corps enseignant afin de se détacher de la religion.
I/ Les projets pédagogiques de la Révolution :
1) on ne part pas de rien sous l’ancien régime, l’école est sous la tutelle de l’église. Elle entretient des écoles seulement pour le besoin de l’Etat. En 1762, les jésuites sont renvoyés par le gouvernement de paris. On ferme les collèges, mais il faut les remplacer, c’est l’occasion pour l’Etat de reprendre l’éducation. En 1763 un édit royal affirme que pour ouvrir une école il faut l’autorité du roi, si il autorise l’ouverture de l’école. Il faut donc une administration pour contrôler. Les historiens ont tendance à préciser que la révolution est une grande rupture, mais on ne repart pas à 0.
Le siècle des lumières foisonne sur les questions d’éducation et d’instruction ; on s’interroge pour qui ? Pour quoi ? Pour former les élites ou pour les pauvres ?
On trouve 161 ouvrages sur l’éducation à ce moment là qui s’appellent plan d’éducation commune, public, national…
L’église est très inquiète et réclame de reprendre l’éducation de la jeunesse, pour la sauver du naufrage total. Les mœurs et la religion serait en danger, si l’église ne procédait pas à l’éducation.
L’éducation doit être utile et sous le regard de l’Etat, pour le bien de l’Etat. On note même des expressions plus philosophiques dans l’encyclopédie on peut lire que « devenir plus instruit c’est important pour devenir meilleur et plus heureux. »
Germe l’idée d’un développement de l’Etat responsable de l’éducation. Lelievre mesure cela dans son ouvrage. Le