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Cutler (1998, 2002) a constaté que les phéromones synthétisés actuel appliqués (ET ou est) augmente l'attraction sexuelle. Dans une autre étude, les hommes (de coutelier) portant les phéromones synthétisés n'ont rapporté une activité plus sexuelle avec les associés romantiques, mais aucune augmentation des comportements autoerotic.
Produits chimiques qui communiquent l'information d'individuals' ; des systèmes immunitaires ont été démontrés mais ne sont pas toujours considérés des phéromones, puisqu'ils ne causent pas une réaction spécifique dans le conspecifics. Plusieurs études ont prouvé que les animaux et les humains choisissent les compagnons qui ont moins matchs dans les gènes immunologiques, tels que le complexe principal d'histocompatibilité (MHC) (appelé les choix basés sur MHC d'odeur). (Foins, 2003, Wedekin et autres 1995) Le MHC est fortement polymorphe ; il y a beaucoup de gènes et donc haut diversité. Les allèles de gène de HLA sont responsables de MHC.
Une étude qui a comparé le type d'allèle de HLA à la préférence a constaté que les gens préfèrent plus de matchs (avec des allèles que la femme avait hérités du père, seulement), tant que les allèles ne sont pas identiques à leurs propres moyens (Jacob et autres, 2002).
Ces conclusions contrastent avec d'autres, tel que préférences trouvées originale d'étude de T-shirt de Wedekind et autres des 1995) (pour les compagnons MHC-différents. Des femmes ont été données des T-shirts utilisés par les mâles hétérosexuels pendant quelques jours. Une fois demandée quels T-shirts ils ont préférés, une corrélation significative a été trouvée entre préférence et différences dans les gènes immunisés. Evolutionarily, les gens veulent trouver les compagnons qui peuvent offrir différentes immunités. Les études ont montré que risque d'anomalie congénitale monte à mesure que la similitude génétique augmente, ainsi elle semblerait raisonnable intuitivement que les