La famille traditionnelle n’était pas fondée sur l’amour. Cette structure était fondée sur le contrôle religieux et/ou communautaire ethnique. Durant le Moyen Âge la mort du partenaire ou de leur enfant n’était pas considérée comme une douleur, était considéré un phénomène naturel, sans charge émotionnelle. Les couples, la famille n’étaient pas sentimentaux. N’existé pas le sentiment d’individualisme, mais l'individualisme dont on parle n’est pas de égocentrisme, mais de reconnaissance de soi, reconnaissance d’être un être libre de choix. Seulement avec l’individualisation qu’on commence à sentir le deuil d’un mari ou de l’enfant. Avant le sujet s’identifie comme fils de quelqu'un que donne un sentiment d’appartenir à leur communautaire, loin d’être un individu maître de soi.
Dans l’ancien temps, les familles vivaient dans une seule pièce, n’existait pas de vie privée de l’intimité, la sexualité était liée au facteur de procréation et au mariage. (Seulement dans le XVIIIe siècle que les couloirs sont créés). Aussi que la communauté et/ou la religion s’entremettent dans la vie de la famille, comme elle devrait vit, une vit sans aucune intimité.
Dans le XVIIIe siècle les individus, en raison de la liberté économique les sujets on leur propre maison, née une sphère d’intimité et de vie privée. L’individu a connaissance de soi, le sujet à le pouvoir sur leur vit, le désir d’être libre qui avait emmené une liberté sexuelle, la sexualité passe d’être un facteur de procréation au plaisir. La recherche de l’accomplissent sexuel, l’épanouissement, du bonheur personnel naître le mariage d’amour. Le capitalisme a favorisé le concept d’individu, et pour résultat le « sentiment ». Le sentimentalisme est une conséquence de la civilisation, de la démocratisation, une question de culturation. La forme de vie démocratique, égalitaire qui a permis possible l’humanisation du couple. Le mariage passe d’être par la raison, une finalité économique et passe à être un mariage