Hydrosphere
Introduction
L’hydrologie comprend de nombreuses disciplines : océanographie, limnologie (lacs), glaciologie, hydrogéologie, hydrologie fluviale. Cette dernière est liée à la climatologie, géologie, géomorphologie, pédologie, biogéographie, écologie, histoire (des fleuves et des aménagements), l’archéologie et les sciences sociales.
Le cycle de l’eau :
Sans eau, pas de vie. Elle a une place privilégiée dans l’équilibre de la planète. Les molécules d’H2O sont en mouvement. Ce cycle met en jeu l’eau sous différentes phases. Deux échelles d’étude :
1 Le cycle de l’eau à l’échelle de la planète :
A. Les précipitations
Équilibre dynamique complexe. Grande quantité d’énergie : principale source : énergie solaire. Donc dépendance du bilan d’énergie du globe. Grande variation temporelle et spatiale. La surface de la terre a une nature aqueuse (71%). Les trois phases de l’eau sont présentes grâce à une température moyenne modérée due à une position privilégiée dans le système solaire. Elle a aussi une masse suffisante pour retenir une atmosphère conséquente. L’énergie solaire permet l’évaporation, qui consomme de l’énergie (chaleur latente de l’évaporation). Condensation de la vapeur (refroidissement) autour d’aérosols (poussières en suspension). Gouttelettes => Gouttes => Pluie. Lors d’une averse : 10% de ruissellement environ, 90% d’infiltration.
L’écoulement gravitaire dans les réseaux hydrographiques se fait jusqu’au niveau de base, le niveau de la mer. Processus d’équilibre : Les nuages sont l’intermédiaire entre vapeur et précipitations. La végétation contribue à faire la transformation inverse (transpiration). Conservation de la matière : déplacement et transformation.
B. Les composantes o Précipitations (entrée) P Précipitations annuelles moyennes sur le globe : 973mm. Extrêmes de 0 à 12000 mm/an (mousson). Question de la distribution spatiale des précipitations. Fig. 44a : Influence latitudinale à nuancer :