ijijijijiji
Fixant les traits de son ancêtre
Le jeune adulte inachevé. Ne disait mot
Il était la, couché,
Las
Retardant l'ultime trépas
Il lui restait si peu de vie
Pour la mission a accomplir
La vérité, de ses lèvres sortit à commencer par ceci, J'ai decouvert la poesie
Par un frais soir d'été sur une terrasse en Italie, italienne
La lampe a huile dans ma main droite,
Je m’imprégnais des mots si doux
Ou si violents,
M’émerveillais des émotions,
Qu'un simple feuillet de papier,
Semblait pouvoir faire naître en moi.
La tête me tournait,
Tout se mélangeait,
Je respirait trop fort.
C'est les yeux grand comme le monde,
Que je parcourais tout tremblant, les vers d’Apollinaire ou de Rimbaud,
Et de ma plume, comme folle,
Traçant des courbes imaginaires, Je me libérai de mes maux.
Oh dans ma prétention d'enfant,
Je pensais enfin,
Avoir réussi,
Avoir compris la vie.
Une toux sèche a la gorge épuisée s'arracha Mais le doyen ne se démonta pas.J'ai découvert la femme, j'ai parlé du beau
« Je rêvais toutes mes nuits d'une jeune personne
Au regard transperçant et à la peau d'argent.
Un jour je me risquait,
Lui passait un billet
La conviant dimanche
Ceuillir des fleurs blanches.
Toute la journée j'attendis, mais jamais ne la vis.
Dans mes rêves prisonnier,
Avec mon désespoir pour seul compagnie
Dans ma chambre cloîtré
Je suis resté cinq soirs,
A écouter la pluie au toit tambouriner
Dans ma tour, oublié
J'ai noirci feuille sur feuille de papier,
Et pour finir,
Je me trouvait la seul,
Me disant que j'aurais écrit, de bien moins beaux poèmes, si elle m'avait aimé. rendre beau le moche
Fasciné par le laid,
J'étais.
Je passais mes journées,
A admirer crapauds, les larves, les araignées
Et je les décrivait avec de si beaux mots qu'on eut cru qu'ils étaient beaux.
Un jour mon professeur, de littérature j'en suis quasiment sur,
Nous demanda d'écrire un poème en une heure sur la chose la plus