Il n'aurait fallu
Dans le poème Louis Aragon , décrit une situation spéciale , sur sur lequel nous voulons faire une réflexion à l'aide de deux idées : 1) Le contact physique produit un effet permanent sur le locuteur . 2) Le contact sensuel permet au locuteur de renouer avec la nature .
1. Le contact physique produit un effet permanent sur le locuteur.
De la première strophe le locuteur présente une synecdoque : « Mais une main nue / Alors est venue / Qui a pris la mienne ». Il cache l’identité de personne mais il montre une partie de la personne pour parler de la personne entière. Aussi dans la deuxième strophe le toucher de l-a personne reçoit une connotation de une grande 'immensité par rapport à « des choses humaines » À partir de la troisième strophe ses sentiments augmentent «Moi qui frémissais » et il dit que sa vie est devenue « Un grand collier d'air » à cause de la deuxième synecdoque mis en place par les « Deux bras » . Mais aussi dans le même temps on peut dit que les « Deux bras » sont décrits comme un collier d’air qui produit un effet libérateur sur le locuteur. Dans le quatrième strophe le « geste en dormant » est présenté comme un mouvement qui produit un effet physique , un contact special causant de frôler.« Léger qui me frôle » Le « soufle posse » est encore comparer avec une rosée, qui exécute une action de condensation sur son épaule.
Dans le cinquième strophe le image de personne est façonnée par « Un front qui s'appuie » il s’agit ici, aussi d’ une synecdoque. Le front « qui s’appuie » sur lui, actionne pendant la nuit. La nuit peut symboliser un moment très difficile et sombre dans sa vie. La image synecdoque continué en soulignant les « Deux grands yeux ouverts » qu’ils montrent la personne, comme unne personne ouverte, attentive en ce qui concerne le locuteur. Le contact physique est comparé à un champ de blé , produisant aussi la meme effet