Il y a-t-il un temps pour être heureux ?

Être heureux signifierais donc ne pas être malheureux ? Il faut tout d’abord se mettre d’accord sur la signification du mot « heureux », nous parlerons plutôt d’une sensation de satisfaction, de jouir d’un plaisir, d’être en totale plénitude, de ressentir de la joie, ou encore tout simplement d’être équilibré et stable. Il y a un commencement pour être heureux mais aussi une fin, cependant certaines personnes fortes de volonté réussissent à l’être continuellement. Pourquoi certains devraient l’être plus que d’autres ou bien plus longtemps ? C’est pour cela que nous nous demanderons d’abord si il ne faudrait pas tout simplement rechercher à être heureux, puis à l’inverse si nous ne naissons pas d’une nature heureuse qui ne fais que ce dégrader au cours de notre vie. Qu’il y a un temps pour être heureux est sûrement une évidence pour des personnes qui se remémorent leurs enfances pleines d’insouciance, et où ils se trouvaient heureux pour des choses futiles. Certes les jeunes enfants se contenteront de se dire heureux lorsqu’ils auront pour leur anniversaire le jouet tant désiré ou encore une sucrerie à leur gouter cependant selon les périodes de notre vie la conception de ce bonheur se modifie. Effectivement à l’âge adulte, quand beaucoup de choses nous préoccupent, nous nous sentons heureux lorsque nous n’avons ni besoins, ni envies et que nous apprécierons le moment présent. Comment peut-on dire qu’il n’y a pas de temps pour être heureux si nous même en temps qu’être humain employons le mot « malheureux », c’est-à-dire le sentiment inverse dans lequel nous devrions être. Mais cette nature humaine dont nous parlons est elle-même dû à ce malheur. Le contact avec la société et avec notre environnement définit nos moments de bonheur, nous sommes donc ni plus ni moins dépendants des autres. Ce qui résulte au fait que l’Homme en société se rend malheureux par l’environnement qui l’entoure. Nos minutes, heures ou