La vie sur une île déserte

Il était une fois, un matin d'août, mes amis et moi décidions d'aller vivre sur une île déserte. C'était un endroit extraordinaire, où on pouvait connaître la véritable indépendance ; loin de la pollution, du bruit, de la foule et du stress.
J'avais vingt ans, le visage rond et épanoui, les cheveux châtains et bouclés, des yeux noisettes et des lèvres fines. J'étais mince, petite avec beaucoup de souplesse. Au quotidien, mon courage, ma générosité, mon optimisme m'aidaient à faire face aux difficultés de la vie. Cependant ma sensibilité demeurait toujours. Ma plus proche amie, Émilie, une fille dynamique et sympathique, aux cheveux longs, noirs et lisses m'accompagnait dans cette aventure. Mon meilleur ami, Valentin, grand, mince, les cheveux châtains, clairs et frisés se montrait toujours réservé mais très efficace pour prendre une décision.
L'heure du départ de ce voyage est arrivée. Tout le nécessaire pour survivre se trouvait dans nos valises. Nous étions prêt à partir à l'aventure. Chacun d'entre nous disait au revoir à sa famille dans l'aéroport. Il y eut des déchirements, des pleurs.... Nous prîmes l'avion en direction de cette île. Émilie me dit :
« Laurine, je suis heureuse de partir avec toi et Valentin ! Moi aussi, je suis sûre qu'on pourra vivre sans téléphone, télévision et ordinateur ! Évidemment, on est des amis unis donc on s'aidera...répliqua
Valentin »
Après dix heures de vol, nous sommes arrivés sur l'île qu'on rêvait découvrir depuis des années... La première chose qui nous a surpris : ce fut le climat, chaud et humide. Nous peinions à respirer tellement que l'atmosphère était moite. Ce lieu présentait des plantes tropicales. De plus, il y avait des lianes gigantesques qui s'enchevêtraient autour d'arbres géants comme par exemple des eucalyptus et des séquoias. Ces arbres mesuraient plus de cents mètres de hauteur. Le sé-quoia, nous a étonné puisque son écorce avait une couleur brun rougeâtre,