Image fantome
De quoi il s’agit si je vais utiliser l’expression de « représentation fantomal » ? Ça seraient pas les images de fantômes présumés captés sur les photographies ou vidéo ni autres témoignages de « l'expérience paranormal ». Je vais l’utiliser en tant que métaphore d’une image qui n’apparait pas dans la représentation donné ou apparait partiellement, mais pourtant il est appeler à exister, à (ré)venir dans la tête de spectateur et c’est lui qui complète ou fait sens de l’œuvre.
Selon J.L. Nancy on peut rencontrer deux type de l'image. L'un ce sont « les fabrications des idoles ». Il s’y agit des images fermé sur elle-même, fini et rempli de sens en soi. Par exemple se sont des sculptures grecs, crées selon les canons et conçus pour représenter l'idéal du beau. Ici on peut dire qu’elles renvoient aux idées, mais ces sculpture prétendent de capté cet idée et la présenter parfaitement au publique. Pour les Grecs de la période classique « (…)la statuaire ne doit pas être une copie plus ou moins fidèle du réel mais une expression idéale de la nature »2. Son but est là dans l'œuvre. Deuxième type de l'image c'est avec les mot de J. L. Nancy la « présentation d’une absence ouverte ». C'est le concept qui surgir dans son livre « Au fond des images » . Il y analyse la légitimité d’un refus de la représentation de Shoah. En opposant deux types d’images mentionnés. Nancy trouve la représentation possible dans un type de l’œuvre qu’il appelle une « mise en présence qui divise la présence et qui l’ouvre à sa propre absence »3. C’est-à-dire une représentation qui se met soi même en doute, qui s’efface ou comme le dit Nancy s’interdit. Cet représentation ne prétende plus à l'idéal d’une forme parfaitement fini, mais plustot la justesse. Cet justesse exige qu’on laisse la place pour la réalité autre que celle de l’œuvre dans l’œuvre même, donc que l’absence