IMPROMPTU DE VERSAILLES - MOLIERE

Scène 4 (extrait), parcours libre

Rappel : l’impromptu : nom, adjectif et adverbe (in promptu en latin= « en évidence » ou « sous la main »)

- Nom : Une petite pièce improvisé - Adjectif : « improvisé », « sans apprêt » - Adverbe : « à l’improviste », « sans préparation, au pied levé »

Improvisation de la troupe de Molière ( c’est un jeu.

L’école des femmes : pamphlet pour répondre à cette œuvre.

Impromptu est un jeu à la base, on se donne la réplique.
Molière créé un genre.
Pièce dans laquelle Molière joue Molière etc.…
C’est une fiction de la répétition.

Contexte et complexité

(1662) l’école des femmes : polémique : _forme de cocuage _Fond : contre le sacrement du mariage

On reproche a Molière la forme aucunes règles (3 unités), puis le fond religieux : le mariage.

Molière répond des attaques par La critique de l’école des femmes (juin 1663).
C’est une autocritique ainsi qu’une défense.

Jean Donneau de Visé et Boursault se liguent contre Molière. Puis vint l’acteur Montfleury (troupe de l’hôtel de bourgogne).

C’est un jeu attaque/contre attaque.

La troupe de Molière contient : Béjart ( sa fille), Armande et Madeleine.

Or Louis XIV demande a être le parrain du 1er fils de Molière. Le roi a besoins de Molière.
Donc il répond aux attaques avec « l’impromptu de Versailles ». (1663)

Dans ce théâtre il y a un mélange de concret et d’universalité. Ce qui le rend ambiguë.

Il y a une confusion entre la fiction scénique et le lieu réel de la représentation. Il y a 12 noms réels (Molière, Brécourt…) avec en face leurs rôles.

Molière joue un marquis ridicule pédant, beau parleur.
Brécourt : un homme de qualité plein de sagesse.
La Grange : un Marquis ridicule.

Il garde leur vrai nom : ce sont plus des personnages que des types.

Nous assistons à une (fausse) répétition comme si étions passer de l’autre coté du rideau.
Coté réel