1) L’inégalité homme – femme dans le couple ce traduit dans ce texte par le fait que l’homme ne ce charge pas de la cuisine. (ligne 7 à 10) « Finie la ressemblance (…) Elle avait démarré la différence. » Malgré qu’il soit tous deux sans passé culinaire, c’est elle qui se charge de la cuisine qui devient une corvée. La jeune femme se sacrifie pour sa vie de couple au dépend de sa scolarité. On peut supposer que c’est elle qui s’occupe du linge dans la phrase : « Il n’a pas la naïveté de croire que le lavage de ses chaussettes me comble de bonheur ». En gros l’inégalité homme- femme se reflète dans se couple par l’accomplissement de tâche « collective » effectuer seulement par la femme.

2) La jeune femme à un sentiment d’injustice. Ligne 14 « Au nom de quelle supériorité ». Elle se pousse a la réflexion afin de comprendre un peu mieux et de savoir d’où vient le souci, elle en vient même a ce remettre en question. Ligne 25-27. Malgré cela elle ressent un sentiment d’impuissance d’une certaine manière elle se doit de délaissait c’est études et elle en a conscience (ligne 43 « Pour la première fois j’envisage un échec avec indifférence ») et cela en résulte sur la survit du couple. Nous somme dans les années 60, les mœurs n’avaient pas encore évoluée et les femmes vivait au travers leurs marie.

3) Cela se reflète particuliérement dans le dernier paragraphe. (ligne 45 « Mais oui, il m’encourage (…) de légalité. ») Ce jeune homme ne ce rend pas compte des méfaits que certaines choses on causées. Il parait indifférent et inconscient des répercutions sur sa femme qui abandonne ces projets, la réalisation de soie. (Ligne 49 « Intellectuellement, il est pour ma liberté, (…) comment me plaindrais-je. »). Un sacré paradoxe, ce jeune homme qui ne s’investit infimement aux taches ménagères et collectives du couple souhaite cependant la réussite scolaire et professionnelle de sa femme. Ce qui est concrètement infaisable pour celle-ci qui délaisse ces ambitions.