Incipit aurélien
Attentes d'un incipit : carde spatio temporel, précision descriptive contexte de départ, carte d'identité du pers, caractère
Différence ac réalisme : pas de carde spatio-temporel, pers non décrit, rien n'est dit sur le pers (caractère, description...), on ne prépare pas la suite, nous n'avons aucunes précisions sur le lieu
Écarts par rapport à la tradition (attentes insatisfaites) :
Pas de carte d'identité (on a que 2 prénoms), il a 1 passé, pas de description physique (pers principal non mis en valeur refus d'écrire comme on le fait normalement), absence de cadre spatio temporel (pas de lieu, pas d'indications précises de temps), point de vue interne (il est brouillé), pers non construit (pas vraiment d'incipit), présentation négative de la 1ère rencontre de la femme et du pers par rapport aux rencontres qui sont souvent merveilleuses.
La réalité est insaisissable, instabilité du na, roman entre dans l'ère du soupçon, le na inspire au lecteur de la méfiance, la réalité n'est pas fiable, les pers ne sont pas simples.
Ce terme du soupçon a été inventé par 1 écrivain du nouveau roman qui est Nathalie Sarraute, femme qui voit clair. On est dessuite plongé dans 1 histoire sans y avoir été préparé, ce récit de 1ère rencontre est placé ds le passé, on sait quel genre de roman on va lire : un roman d'amour, roman en 2 volumes qui raconte une des + belles histoires d'amour du XX ème s.
On peut parler d'anti roman et d'anti rencontre amoureuse, le pers est déconstruit, roman écrit contre la tradition.
Cette rencontre qui se présente mal va déboucher sur un sentiment amoureux mais de manière inatendu et donc on découvre un début d'attachement, on comprend le rapprochement entre le vers et le pers qu'il rencontre car le vers a le même prénom que la fille « un vers qu'il ne trouvait pas beau » ce qui exprime le décalage, beauté douteuse et inexplicable, pers dans l'embarras