Incipit De Germinal
Leenhardt Benjamin
2°5
Incipit Germinal
Ce texte introduit le roman Germinal, l’incipit nous donne des informations sur les personnages et le cadre spatio-temporel. Et nous donne aussi des indices sur ce qui arrivera à la suite du roman. L’incipit nous incite, à lire la suite du roman.
1) Le passage est effectivement divisé en trois parties, la première partie va de « dans la plaine rase »… Jusqu'à … « de l’embrun aveuglant des ténèbres ». Dans cette partie le point de vue est panoramique car le paysage est décrit dans tout son ensemble. Il n’y a pas de description ou de gros plan précis sur une seul chose ou une seul personne. C’est une description générale de l’ensemble du paysage : « l’immense horizon plat », « la plaine rase », « la grande route ».
Dans la deuxièmes partie, qui va de « L’homme était parti » … Jusqu'à … « un instant les mains », un gros plan est effectué sur l’unique personnage de cette incipit. En effets on découvre de façon précise l’homme aperçu dans la première partie. Dans cet extrait l’homme est décrit comme un petit être faible et vulnérable : « grelottant sous le coton aminci de sa veste », « des mains gourdes que les lanières du vent d’est faisaient saigner »
La troisième partie du récit, qui va de « un chemin creux » … Jusqu'à … « alors l’homme reconnut la fosse », décrit la découverte d’un bâtiment mystérieux qui semble être une usine : « la silhouette d’une cheminée d’usine ».
2) Le paysage de la troisième partie semble être un lieu industriel : « la silhouette d’une cheminée d’usine ». Ce paysage est décrit, premièrement d’une façon fantomatique. En effet l’auteur utilise un champ lexical qui porte sur le doute le mystère : « de pignons confus », « fit environ deux cent pas », « sans qu’il comprit », « une masse lourde », « vaguement ». L’homme ne parvient pas à reconnaitre ce qui l’entoure. Ce passage est aussi montré d’une façon terrifiante voir hallucinatoire, l’ensemble du paysage