Incipit les liaisons dangereuses
Le cinéma adapta le fantôme de l’opéra roman de Gaston Leroux dans lequel un fantôme effraye les danseuses
De plus plusieurs scènes du film la grande vadrouille se déroulent dans l’enceinte de l’opéra Garnier
Aujourd’hui l’opéra est une véritable usine composée de 1500 ouvriers en plus des danseurs. Il y a des techniciens, des costumiers et aussi des responsables administratifs pour organiser les spectacles.
Lorsque François Mitterrand fit construire l’Opéra Bastille, le Palais Garnier ne devait plus accueillir que les spectacles de danse, mais après sa rénovation, depuis le 1er mars 1996, il présente en alternance des spectacles lyriques et des ballets. Ce monument est un des plus prestigieux monuments de Paris, sa bibliothèque conserve un grand nombre de partitions de livre et de maquettes de costumes, et de décors des opéras et ballets. Enfin ce palais est gardé par de courageuses ouvrières : deux belles ruches sont installées sur le toit et les abeilles de l’Opéra, grâce au pollen des fleurs des jardins de Tuileries, du Palais Royal et des balcons des alentours donnent un miel délicieux !
Conclusion
Garnier était un fou de théâtre vivant il a fait en sorte que l’abondance lyrique d’un opéra soit renforcée par l’abondance de son architecture. Tout y est abondance et profusion démesure et même mise en scène ce qui crée un lien parfait entre le monument et l’art lyrique
Jean Louis Charles Garnier
Jean-Louis-Charles Garnier, né à Paris le 6 novembre 1825 et mort à Paris le 3 août 1898, est un architecte français. Son père d'origine sarthoise, s'était installé à Paris après avoir été forgeron, puis carrossier-charron ; il y monta une entreprise de location de voitures hippomobiles. En 1824, il s'était marié à Félicie Colle, fille d'un capitaine de l'Empire. Après sa communion, Charles Garnier est envoyée dans un institut de Bellême (Orne), tenu par un ami de la famille, afin de parachever son éducation. De retour à Paris, il poursuit ses