L'infinitif de Thérèse raquin

Introduction : Thérèse raquin est le premier grand roman d'Emile Zola. Émile Zola est un écrivain et journaliste français, né à Paris le 2 avril 1840 et mort dans la même ville le 29 septembre 1902.
Ce roman fut d'abord paru en feuilletons et a fini par être publié en 1867.
Cette œuvre est naturaliste, ce mouvement apparu au XIX eme siècle, démontré les descriptions scientifiques et objectives des réalités humaines. Il est né de l'influence des sciences et du progrès de la médecine.

Description d'un lieu en détail :

Ce lieu est inquiétant, presque un personnage.
Le début de ce roman commence un premier paragraphe avec des complément circonstanciels de lieux "rue Guenegaud" "le passage du Pont-Neuf", "rue Mazarine à la rue de Seine" pour indiquer ou est le passage du Pont-Neuf. Et ensuite par une description du passage par une énumération "Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse".

Au deuxième paragraphe on parle du passage pendant les différentes saisons, il y a des complément circonstanciels de temps "les beaux jours d'été", "les vilains jours d'hiver". Lorsque la saison c'est l'été il fait deux hyperbole "quand un lourd soleil brûle les rues" et "traine misérablement dans le passage". Lors de la description de l'hiver il fait une énumération "par les vilains jours d'hiver, par les matinées de brouillard, les vitres ne jettent que de la nuit gluantes, de la nuit salle et ignoble" .

Au troisièmes paragraphe il nous décrit le côté gauche du passage. Il nous décrit les commerces et qu'est ce qu'il y a comme commerce. Pour décrire les commerces il fait une énumération (ou gradation) "a gauche se creusent des boutiques obscures, basses, écrasées". Il y a une personnification "laissant échapper des souffles froids de caveau". Ensuite on nous parle