C'était dans la rue du rat d'égout, la zone la plus dangereuse de la ville, la plus sale, la plus puante. Le sol était jonché de cadavres et d'ordures, les murs étaient plus noirs que la nuit si ce n'est à l’exception des taches de sang qui mettaient un peu de couleur et pas une seule trace de végétation n'était visible à 10 kilomètres à la ronde au moins car rien ne pouvait pousser dans un lieu pareille. Sur les rebords des fenêtres, les oiseaux empoisonnés attendent que l'on vienne les cherchez pour manger. C'est là bas qu'une collégienne de 14ans appelée Maya s'était installée après avoir été maltraitée sexuellement par son beau-père et abandonnée de sa mère. Le noir impénétrable de ce quartier ressemblait aux yeux du chaos et la seule lumière émanant des sexclubs était si douce et belle quelle faisait penser à une déesse. En revanche même le ciel ressemble à tout ce qu'il y a en bas, il est pollué, noircit par les usines fumantes, puantes. Chaque magasin quel qu'il soit est chaotique, les vendeurs de planches en ont des noirs, des noirs et encore des noirs. Les poissonniers n'ont que du poisson avarié et les couturiers ne font que des chiffons. On pourrait continuer comme ça longtemps mais ce serait trop long. En bref avec tous les animaux comme les rats par exemple, et tout autre chose qu'il y a ou qui se passe là bas cette endroit est décrit par tous comme un endroit chaotique et répugnant à éviter au mieux que l'on peut, c'est le quartier des damnés aussi qu'on le