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Problématique :
Le secteur bancaire algérien était constitué de banque centrale, de cinq banques publiques issues de la nationalisation des banques françaises en 1986, d’une banque d’investissement et d’une caisse d’épargne.
Dans les années quatre vingt, les banques étaient spécialisées par secteur d’activité et développaient des instruments financières favorisant la mise en œuvre des orientations de l’Etat.
Le dispositif mis en place en 1990 a effectivement contribué au cours de ces dernières années a renforcé la compétitivité de système bancaire algérien. Un dispositif qui représente les différentes reformes apportées par la loi sur la monnaie et le crédit (loi 90 /10 du 14/04/1990), cette loi prometteuse et ambitieuse d’après plusieurs analystes, a visée des objectifs dont on site : * Mettre un terme définitif a toute ingérence administrative * Rétablir la valeur du dinar algérien * Aboutir a une meilleure bancarisation de la monnaie * Encourager les investissements extérieurs utiles * Assainir la situation financière des entreprises * Déspécialiser les banques et clarifie les missions confié aux banques et aux établissements financier * Diversifier les sources de financement des agents économiques notamment les entreprises par la création d’un marché financier
La libéralisation du système bancaire algérien commençait à se mettre en place avec cette loi, elle a permet aux banques un financement meilleur et donc des profits de plus. Un financement qui consiste à obtenir des ressources monétaires nécessaires a la réalisation des différents projets.
Le financement se fait par la banque (économie d’endettement) notamment les banques étrangères. Malgré l’implantation récente de ces dernières, elles connaissent un développement progressif et elles participent au financement de plusieurs entreprises et particuliers. Cependant, la