Initiation à la micro économie
Approche en termes de marché :
François Quesnay
JM Keynes => Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie
Léon Walras =>Théorie de l’équilibre générale (sur les trois marchés :
Du travail
Des biens et services
Des dons prêtables (SFi)
Raisonnement en termes de circuit, les prix sont par hypothèse flexibles et assurent l’équilibre de l’offre et de la demande.
Développée par l’école Néo-classique.
La théorie du consommateur
Inscription dans la lignée de l’utilitarisme, notamment celui de Bentham (L’arithmétique des plaisirs) influençant des économistes néo-classiques tels que Jewons et Edgeworth (Psychologies Mathématiques).
Pour eux, l’homme moderne = homo-economicus : homme rationnel cherchant à maximiser sa satisfaction, son utilité en fonction de ses préférences individuelles.
Mais à partir des 60’s, cette conception fait l’objet de critiques (Galbreith => Thèse de la filière inversée + Bourdieu=> La distinction, critique du jugement esthétique).
L’économie apparait avec les néo-classiques au service de l’homme de la satisfaction de ses besoins et non au service du Kiste.
Le choix du consommateur et la courbe d’indifférence
Conso cherche à maximiser son utilité => implique un choix en fonction de ses préférences.
!!! Classiques raisonnent en termes d’utilité totale alors que néoclassiques en termes d’utilité marginale ; rénovant ainsi la théorie de la valeur d’usage (rejetée par Marx et les classiques comme fondement de la valeur).
Approche marginaliste permet en effet de montrer que l’utilité varie en fonction du degré d’abondance et de rareté => Utilité marginale décroit avec l’abondance et croit avec la rareté
Colline des plaisirs et courbe d’indifférence
Caractéristiques : décroissante et convexe vers l’origine plus éloignée de l’origine, plus la satisfaction sur une même courbe, niveau de satif’ constant les courbes ne se coupent pas entre elles une courbe