Dans ce texte Freud cherche à nous décortiquer l’inquiétante étrangeté qui est un concept très étrange. En effet c’est un type d’émotion très bizarre qui se situe entre la peur et l’inconfortable. L’inquiétante étrangeté est cette variété particulière de l’effrayant qui dit que ce qui est familier peut devenir étrangement inquiétant. L’inquiétante étrangeté est une sorte de traduction (pas parfaite) du mot allemand >. Freud divise ce concept en 3 parties. La première s’agit de la duplication. L’inquiétante étrangeté joue sur le doute entre l’animé et l’inanimé ce qui s’agit du motif du double. Il met donc en lumière la répétition du même. Par exemple, un homme se regarde dans le miroir et a peur de ce qu’il voit. Il finit ensuite par réalisé que il a peur de sa réflexion et il réalise qu’il a peur de lui même ce qui lui donne un sentiment d’inquiétante étrangeté. Cette inquiétante étrangeté peut revenir de la même manière quand l’on se perde en forêt en se retrouvant toujours au même endroit. Ce qui est alors inquiétant, c’est le facteur de répétition non intentionnelle qui nous donne ce sentiment d’étrangement inquiétant. Ceci est donc la deuxième partie que Freud développe. Dans notre tête on pense toute suite à une mort certaine tandis que s’a aurait pu seulement être un hasard. Ceci est peut etre explicable par une évènement de la vie infantile (dont on a toujours eu peur) qui viens se reproduire dans la vie actuelle sous la forme du même ce qui donne ce sentiment d’inquiétante étrangeté. Bref, c’est la compulsion de répétition de complexes infantiles refoulés. La troisième partie a plus rapport aux pensées animistes. En effet il s’agit d’une inquiétante étrangeté reliée à l’ancienne conception du monde. Cependant avec le temps celle-ci semble d’être de moins en moins importante du à un changement des croyances. Freud en nomme aussi un quatrième facteur mais celui-ci semble être enlevé de notre extrait. Ensuite Freud regarde l’autre coté de la médaille. En