INTEGRATION ET SOLIDARITES

1. Après avoir montré que la logique d’assurance a reculer au profit de la logique d’assistance dans le système français de protection sociale, vous analyserez les conséquences de cette tendance sur la cohésion sociale.

I De l’assurance à l’assistance II les contradictions de la protection sociale
A Les contradictions de l’assurance sociale (voulue par les syndicats, Sécu gérée de façon tripartite, inadaptée aux indépendants et aux exclus) A Le risque de décincitation (trappe à pauvreté, désutilité marginale du travail, sous culture de l’assistanat et du travail clandestin)
B L’i, flexion vers l’assistance (Nombreuses prestations non contributives (CMU, RMI), financement par l’impôt B Les incertitudes du financement (Redistribution peu efficace, baisse des prélèvements obligatoires nécessaire

2. Après avoir mis en évidence l’importance de l’action de l’Etat dans la lutte contre l’exclusion vous en montrerez les limites.

I Les politiques de lutte contre l’exclusion est indispensables II Les problèmes rencontrés
A Les raisons d’une telle intervention (taux de pauvreté revenus primaire = 20%, chômage, précarité, exclusion A Une action difficiles aux effets pervers (Retour à ‘emploi des Rmistes difficile, pauvreté héréditaire, étiquetage négatif de l’a assisté)
B Les moyens employés (politique de l’emploi, RMI, CMU, lutte contre l’échec scolaire (bourses, ZEP)
. B La lutte passe par d’autres organisations (Etat bureaucratique, bénévoles plus efficace, quelques associations caritatives qui ont fait leurs preuves (restos du Coeur, Emmaüs))

3. Le travail est-il encore un facteur d’insertion sociale aujourd’hui ?
Quelle a été la place du travail dans le processus d’intégration sociale ? Ses mutations ne sont-elles pas source d’exclusion ?

I pendant la période des 30 glorieuses le travail était la principale instance d’insertion des individus dans la société II l’augmentation du chômage et de la précarité